Le CNRS a alors décidé de travailler sur l’influence de la végétation et des essences forestières sur la quantité et la qualité de l’eau du sol. A la même époque, le Parc national voulait connaître l’impact de l’écobuage et du surpâturage ovin sur une terre déjà pauvre.Le mont Lozère se prêtait bien à ces recherches : sol granitique, éloignement de toute pollution urbaine ou industrielle, coexistence de trois grands types de végétation : la pelouse, la hêtraie et la forêt d’épicéas. Ainsi ont été lancées des recherches pluridisciplinaires sur trois petits bassins versants ; la Sapine (hêtraie), la Latte (pessière et forêt d’épinéas et les Coutasses (pelouse).