Premier contact autour de la biodiversité, de l’économie et du plan France Relance pour la Préfète du Gard
Le vendredi 24 septembre Marie-Françoise Lecaillon, préfète du Gard, accompagnée de Jean Rampon, sous-préfet d’Alès et de Saadia Tamelikecht, sous-préfète du Vigan, s’est rendue à l’observatoire astronomique du lac des pises pour échanger avec le Président du Parc, Henri Couderc, le Vice Président Alexandre Vigne, Rémy Chevènement, Directeur adjoint et Célia Villaret Déléguée Territoriale. L’occasion d’évoquer l’importance du label « Réserve internationale de ciel étoilé » (RICE) et de la lutte contre la pollution lumineuse.
Elle a poursuivi sa visite sur la thématique de l’attractivité du territoire et son développement économique. Elle a notamment visité la maison de l’Aigoual qui accueille office du tourisme, boutique de souvenirs et lieu d’expositions.
L’occasion d’évoquer également le plan France Relance et l’ensemble des projets qui sont mis en place par le Parc grâce au soutien financier de l’État : rénovation énergétique des bâtiments (788 000 euros) et protection de la biodiversité par la rénovation des éclairages publics et l’implantation de haies mellifères (1,7 millions d’euros).
Marie-Françoise Lecaillon a succédé à Didier Lauga le 8 mars dernier. Toutes les équipes du Parc lui souhaitent la bienvenue et sont impatients de lui présenter les autres richesses et enjeux du territoire.
Visite d’une curée et échanges autour de l’agropastoralisme pour la Préfète de la Lozère
Le 28 septembre, Valérie Hatsch, préfète de la Lozère s’est quant à elle rendue sur une curée, sur le charnier de Cassagne, un site historique pour la réintroduction des vautours.
Ce déplacement, initié par la LPO a permis d’évoquer l’ensemble des éléments factuels autour de ce sujet qui a suscité beaucoup d’attention et de débats ces derniers temps. Il a par exemple été rappelé que les vautours ne sont pas « équipés pour attaquer » (ils n’ont pas de serres comme les aigles par exemple mais des pattes qui ne leur permet pas la préhension). L’occasion d’évoquer également tout l’intérêt et l’utilité des placettes à vautours pour les éleveurs qui sont – dans la grande majorité – très satisfait par les services rendus en terme d’équarrisage et notamment les économies qu’ils leur permettent de réaliser.
Valérie Hatsch s’est dite prête à mettre en place des groupes de travail valorisant les connaissances dont nous disposons pour faire progresser la réflexion sur des bases factuelles.